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2177e6acc6
commit
a43359c760
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@ -7,19 +7,38 @@ USAGE
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SVirtualBox [options] vmName
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SVirtualBox [options] vmName
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OPTIONS
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OPTIONS
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-n Ne rien faire excepté s'assurer que les modules VirtualBox sont chargés
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-n, --nop
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-l Lister les machines virtuelles
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Ne rien faire excepté s'assurer que les modules VirtualBox sont chargés
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-s Démarrer la machine virtuelle (par défaut)
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-l, --list
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Lister les machines virtuelles
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-s, --start
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Démarrer la machine virtuelle. C'est l'action par défaut.
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Si le nom de la machine virtuelle n'est pas spécifiée, un menu est
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Si le nom de la machine virtuelle n'est pas spécifiée, un menu est
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affiché
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affiché
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-b Démarrer la VM sans interface graphique. Cette option n'est valide
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-x, --gui
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qu'avec -s
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-b, --headless
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-k Arrêter la machine virtuelle (par ACPI)
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--separate
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-p Mettre en veille la machine virtuelle (par ACPI)
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Ces options ne sont valides qu'avec -s et permettent de spécifier le
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-H Arrêter sauvagement la machine virtuelle
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type de démarrage: 'gui' permet d'afficher une fenêtre complète dans
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-R Redémarrer sauvagement la machine virtuelle
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laquelle l'accélération graphique est supportée, headless démarre la
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-S Enregistrer l'état de la machine virtuelle
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machine en tâche de fond, et separate affiche une fenêtre qui attaque la
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-g Afficher le gestionnaire de machines virtuelle
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machine démarrée en tâche de fond. --separate est l'option par défaut.
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-k, -t, --stop
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Arrêter la machine virtuelle. Les options -p, -H, -R, -S et -r
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permettent de spécifier le type d'arrêt de la machine virtuelle
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-p, --sleep
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Mettre en veille la machine virtuelle (par ACPI)
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-H, --poweroff
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Arrêter sauvagement la machine virtuelle
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-R, --reset
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Redémarrer sauvagement la machine virtuelle
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-S, --savestate
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Enregistrer l'état de la machine virtuelle
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-r, --rrestart
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Arrêter la machine, restaurer l'état du dernier snapshot puis la
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relancer.
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-g, --gui
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Afficher le gestionnaire de machines virtuelle
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~~~
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~~~
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
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@ -0,0 +1,29 @@
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# create-user
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~~~
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create-user: créer un utilisateur sudoer et lui installer une clé publique ssh
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USAGE
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create-user user [-p pubkey]
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OPTIONS
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-p, --pkfile PKFILE
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Installer la clé publique ssh contenue dans le fichier spécifié. Par
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défaut, prendre le fichier ~/.ssh/id_rsa.pub de l'utilisateur courant.
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-s, --pkstring PUBKEY
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Installer la clé publique ssh spécifiée. Cette option avancée n'est pas
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utilisée en temps normal. Elle a la priorité sur l'option --pkfile
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-l, --luser
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Ne pas donner à l'utilisateur le droit de sudoer.
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-h, --host [USER@]HOST
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Créer l'utilisateur sur l'hôte distant spécifié. Si l'utilisateur
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distant n'est pas root, il doit être sudoer.
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-T, --tmproot TMPROOT
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Spécifier le répertoire temporaire sur l'hôte distant, comme par exemple
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/var/tmp. Cette option est utile pour certains serveurs, qui ont un /tmp
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minuscule.
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-S, --ssh SSH
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Spécifier le programme à utiliser pour la connection par ssh.
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~~~
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
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@ -0,0 +1,45 @@
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# netconfig
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~~~
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netconfig: gérer la configuration du réseau
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USAGE
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netconfig -c network.conf
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netconfig [iface:]ip[/suffix]...
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OPTIONS
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-P, --partial
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Activer le mode de configuration partielle. C'est la valeur par défaut.
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Dans ce mode, la configuration courante n'est pas modifiée. Seules de
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nouvelles adresses ips sont configurées le cas échéant.
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-F, --full
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Activer le mode de configuration complète. Dans ce mode, le nom d'hôte
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ainsi que toutes les interfaces, pont et adresses sont configurés.
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-z, --reset
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En mode full, recréer le fichier /etc/network/interfaces au lieu
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d'essayer de le mettre à jour.
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-l, --inline
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Prendre la configuration depuis la ligne de commande. C'est la valeur
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par défaut, sauf si un fichier network.conf existe dans le répertoire
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courant.
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Dans ce mode, chaque argument est une spécification d'adresse IP à
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configurer. Les autres paramètres i.e les ponts, le nom d'hôte et le
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contenu du fichier /etc/networks sont spécifiés avec les options -b,
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-h et -e
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-c, --config CONFIG
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Spécifier le fichier de configuration à utiliser pour la configuration
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du réseau. Cette option est automatiquement activée si le répertoire
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courant contient un fichier network.conf
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-w, --write
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Ecrire la configuration actuelle dans le fichier network.conf
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Note: comme ce script demande les droits de root, le fichier sera écrit
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avec le propriétaire root.
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-b, --bridge BR:IFACES
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En mode inline, spécifier une liste de ponts à configurer.
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-h, --host HOST
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En mode inline, spécifier le nom d'hôte pleinement qualifié
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-e, --etc-networks CONTENT
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Spécifier un contenu pour remplacer le fichier /etc/networks
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~~~
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
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@ -6,13 +6,24 @@ umountr: démonter un système de fichier récursivement
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USAGE
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USAGE
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umountr mountpoint
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umountr mountpoint
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Démonter tous les systèmes de fichiers qui sont montés en-dessous de mountpoint
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puis démonter mountpoint. Démonter aussi tous les systèmes de fichiers
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bind-montés à partir d'un sous-répertoire de mountpoint.
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OPTION
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OPTION
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-c, --continuous
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-c, --continuous
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Continuer même en cas d'erreur
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Continuer même en cas d'erreur
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-r, --recursive
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-1, --no-recursive
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Spécifier le type de démontage:
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Avec -1, un démontage simple est effectué, comme avec umount. Ce type de
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démontage est automatiquement sélectionné pour les systèmes de fichier
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montés sous le répertoire /media
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Avec -r, le démontage est récursif: tous les systèmes de fichiers qui
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sont montés en-dessous de mountpoint sont démontés puis mountpoint est
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démonté. Tous les systèmes de fichiers bind-montés à partir d'un sous-
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répertoire de mountpoint sont démontés aussi.
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-o, --poweroff
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-k, --no-poweroff
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Après avoir démonté le système de fichier mountpoint, éteindre le
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périphérique qui y correspond. --poweroff est automatiquement activé
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pour les systèmes de fichier montés sous le répertoire /media
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~~~
|
~~~
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||||||
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
|
@ -56,11 +56,13 @@ COMMANDS
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||||||
-R Afficher les modifications effectuées depuis la dernière release.
|
-R Afficher les modifications effectuées depuis la dernière release.
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clone git@host:path/to/repo [destdir]
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clone git@host:path/to/repo [destdir]
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||||||
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clone http://host/gituser/path/to/repo [destdir]
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Cloner un dépôt distant. Basculer sur la branche develop si elle existe.
|
Cloner un dépôt distant. Basculer sur la branche develop si elle existe.
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||||||
Initialiser git annex si le dépôt contient des fichiers annexés.
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Initialiser git annex si le dépôt contient des fichiers annexés.
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Récupérer aussi ces fichiers avec 'git annex get'
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Récupérer aussi ces fichiers avec 'git annex get'
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crone git@host:path/to/repo [destdir]
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crone git@host:path/to/repo [destdir]
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crone http://host/gituser/path/to/repo [destdir]
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Créer un dépôt distant sur gitolite, puis le cloner
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Créer un dépôt distant sur gitolite, puis le cloner
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develop
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develop
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@ -283,6 +283,12 @@ OPTIONS AVANCEES
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référence. Il faut respecter le format, sinon les résultats ne sont pas
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référence. Il faut respecter le format, sinon les résultats ne sont pas
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garantis. Le mieux est de reprendre le résultat de l'option --show-ctnow
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garantis. Le mieux est de reprendre le résultat de l'option --show-ctnow
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en le modifiant un peu si nécessaire.
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en le modifiant un peu si nécessaire.
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-G, --any-ctnow
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Pour le développement ou des tests, lancer toutes les commandes dans
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l'ordre sans tenir compte de l'heure de référence. Cette commande ne
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devrait pas être utilisée en temps normal, mais elle existe pour
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simplifier les tests avec --show-ctnow + --force-ctnow dans les cas
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simples.
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~~~
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~~~
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||||||
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||||||
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
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@ -77,8 +77,9 @@ syntaxe 'setx -a array=cmd args...' est supportée aussi
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~~~
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~~~
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Implémenter une syntaxe lisible et naturelle permettant d'enchainer des
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Implémenter une syntaxe lisible et naturelle permettant d'enchainer des
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traitements sur une valeur. Par exemple, la commande
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traitements sur une valeur. Par exemple, la commande
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evalx cmd1... // cmd2... // cmd3...
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evalx cmd1 [args1...] // cmd2 [args2...] // cmd3 [args3...]
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affiche le résultat de la commande "$(cmd3 $(cmd2 $(cmd1)))"
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est équivalente à la commande
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cmd3 args3 "$(cmd2 args2 "$(cmd1 args1)")"
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Retourner le dernier code d'erreur non nul, ou 0 si toutes les commandes se
|
Retourner le dernier code d'erreur non nul, ou 0 si toutes les commandes se
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||||||
sont exécutées sans erreur.
|
sont exécutées sans erreur.
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~~~
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~~~
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||||||
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@ -92,7 +93,7 @@ Implémenter une syntaxe alternative permettant d'enchainer des traitements sur
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un flux de données. Par exemple, la commande
|
un flux de données. Par exemple, la commande
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evalp cmd1... // cmd2... // cmd3...
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evalp cmd1... // cmd2... // cmd3...
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||||||
affiche le résultat de la commande "$(cmd1 | cmd2 | cmd3)"
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affiche le résultat de la commande "$(cmd1 | cmd2 | cmd3)"
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||||||
Typiquement, cette fonction permet de faciliter la construction d'un
|
Typiquement, cette fonction permet de faciliter la *construction* d'un
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||||||
enchainement de commandes par programme, ou de faciliter l'utilisation de la
|
enchainement de commandes par programme, ou de faciliter l'utilisation de la
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||||||
fonction setx() pour récupérer le résultat d'un enchainement. Dans les autres
|
fonction setx() pour récupérer le résultat d'un enchainement. Dans les autres
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||||||
cas, il est plus simple et naturel d'écrire les enchainements avec la syntaxe
|
cas, il est plus simple et naturel d'écrire les enchainements avec la syntaxe
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||||||
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@ -13,5 +13,9 @@ retourner vrai si $1 est une valeur numérique entière positive
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retourner vrai si $1 est une valeur numérique réelle (positive ou négative)
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retourner vrai si $1 est une valeur numérique réelle (positive ou négative)
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le séparateur décimal peut être . ou ,
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le séparateur décimal peut être . ou ,
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~~~
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~~~
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## `evali`
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~~~
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||||||
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Evaluer une expression numérique
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~~~
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
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@ -2,27 +2,27 @@
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## `straddp`
|
## `straddp`
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~~~
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~~~
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ajouter le préfixe $1 à $2*
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ajouter le préfixe $1 à $2..*
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~~~
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~~~
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||||||
## `strdelp`
|
## `strdelp`
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~~~
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~~~
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||||||
enlever le préfixe $1 à $2*
|
enlever le préfixe $1 à $2..*
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~~~
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~~~
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## `strdelp2`
|
## `strdelp2`
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~~~
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~~~
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||||||
enlever le préfixe $1 le plus long à $2*
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enlever le préfixe $1 le plus long à $2..*
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~~~
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~~~
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||||||
## `stradds`
|
## `stradds`
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~~~
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~~~
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||||||
ajouter le suffixe $1 à $2*
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ajouter le suffixe $1 à $2..*
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~~~
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~~~
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||||||
## `strdels`
|
## `strdels`
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~~~
|
~~~
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||||||
enlever le suffixe $1 à $2*
|
enlever le suffixe $1 à $2..*
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~~~
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~~~
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||||||
## `strdels2`
|
## `strdels2`
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~~~
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~~~
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enlever le suffixe le plus long $1 à $2*
|
enlever le suffixe le plus long $1 à $2..*
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~~~
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~~~
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||||||
## `strlower`
|
## `strlower`
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~~~
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~~~
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||||||
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@ -52,14 +52,14 @@ majuscule
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~~~
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~~~
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||||||
## `strmid`
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## `strmid`
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||||||
~~~
|
~~~
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||||||
Afficher la plage $1 de la valeur $2*. La plage peut être d'une des formes
|
Afficher la plage $1 de la valeur $2..*. La plage peut être d'une des formes
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||||||
'start', '[start]:length'. Si start est négatif, le compte est effectué à
|
'start', '[start]:length'. Si start est négatif, le compte est effectué à
|
||||||
partir de la fin de la chaine. Si length est négatif, il est rajouté à la
|
partir de la fin de la chaine. Si length est négatif, il est rajouté à la
|
||||||
longueur de la chaine à partir de start
|
longueur de la chaine à partir de start
|
||||||
~~~
|
~~~
|
||||||
## `strrepl`
|
## `strrepl`
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~~~
|
~~~
|
||||||
Remplacer dans la valeur $3* le motif $1 par la chaine $2. $1 peut commencer
|
Remplacer dans la valeur $3..* le motif $1 par la chaine $2. $1 peut commencer
|
||||||
par l'un des caractères /, #, % pour indiquer le type de recherche
|
par l'un des caractères /, #, % pour indiquer le type de recherche
|
||||||
~~~
|
~~~
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||||||
## `strops`
|
## `strops`
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||||||
|
@ -122,5 +122,46 @@ Tester si la chaine $1 commence par le wildcard $2
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~~~
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~~~
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Tester si la chaine $1 se termine par le wildcard $2
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Tester si la chaine $1 se termine par le wildcard $2
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~~~
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~~~
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## `strsplitf`
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~~~
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Cette fonction doit être appelée avec N arguments (avec N>1). Elle analyse et
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découpe l'argument $N comme avec une ligne de commande du shell. Ensuite, elle
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appelle la fonction $1 avec les arguments de $2 à ${N-1}, suivi des arguments
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obtenus lors de l'analyse de l'argument $N. Par exemple, la commande suivante:
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strsplitf cmd arg1 "long arg2" "arg3 'long arg4'"
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est équivalente à:
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cmd arg1 "long arg2" arg3 "long arg4"
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Retourner le code 127 si la fonction à appeler n'est pas spécifiée. Retourner
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|
le code 126 si une erreur s'est produite lors de l'analyse de l'argument $N
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||||||
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~~~
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||||||
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## `strecho`
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## `strqvals`
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~~~
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|
Afficher chaque argument à part avec des quotes. A chainer avec strsplitf()
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~~~
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## `strqlines`
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~~~
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||||||
|
Afficher chaque ligne des fichiers spécifiés comme un argument. A chainer avec
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|
strsplitf()
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|
~~~
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||||||
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## `strqarray`
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||||||
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~~~
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||||||
|
Afficher chaque valeur des tableaux $@ comme un argument. A chainer avec
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||||||
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strsplitf()
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||||||
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~~~
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||||||
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## `evals`
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~~~
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|
Enchainer des traitements sur des chaines de caractères, comme pour la fonction
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evalx(). Il y a cependant quelques différences:
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- Seules certains fonctions spécifiques peuvent être utilisées: elles sont
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reconnaissables à leur préfixe 'str'. En effet, lors de l'utilisation d'une
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commande par evals(), le préfixe 'str' est systématiquement ajouté.
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||||||
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- La fonction strsplitf() est traitée de façon particulière pour lancer une
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commande avec le préfixe 'str'
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Ainsi, la commande suivante:
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evals cmd1 // splitf cmd2
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est équivalente à la commande:
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strplitf strcmd2 "$(strcmd1)"
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||||||
|
~~~
|
||||||
|
|
||||||
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
|
@ -13,9 +13,9 @@ Retourner 0 si une modification a été faite dans le fichier, 1 sinon
|
||||||
~~~
|
~~~
|
||||||
## `conf_enableq`
|
## `conf_enableq`
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||||||
~~~
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~~~
|
||||||
Comme conf_enable(), mais s'assure que les valeurs sont quotées dans le
|
Comme conf_enable(), mais s'assure que les valeurs sont quotées si
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||||||
fichier. Ceci permet de stocker des valeurs avec des espaces ou des
|
nécessaire dans le fichier. Ceci permet de stocker des valeurs avec des
|
||||||
caractères spéciaux.
|
espaces ou des caractères spéciaux.
|
||||||
~~~
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~~~
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||||||
## `conf_disable`
|
## `conf_disable`
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~~~
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~~~
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@ -38,60 +38,6 @@ démarrage
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~~~
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~~~
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||||||
Activer le service $1 pour qu'il se lance automatiquement au démarrage
|
Activer le service $1 pour qu'il se lance automatiquement au démarrage
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~~~
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~~~
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||||||
## `network_parse_confbr`
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~~~
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||||||
network_parse_confbr "$confbr" br ifaces
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~~~
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||||||
## `network_format_confbr`
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~~~
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||||||
network_format_confbr "$br" ifaces --> "br:ifaces"
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~~~
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||||||
## `network_parse_confip`
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||||||
~~~
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|
||||||
network_parse_confip "$confip" iface gateway ipsuffixes
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||||||
~~~
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||||||
## `network_parse_ipsuffix`
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~~~
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|
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network_parse_ipsuffix "$ipsuffix" ip suffix
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~~~
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## `network_format_confip`
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~~~
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network_format_confip "$iface" "$gateway" ipsuffixes --> "iface//gateway:ipsuffixes"
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~~~
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## `network_format_ipsuffix`
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~~~
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network_format_ipsuffix "$ip" "$suffix" --> "ip/suffix"
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~~~
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## `network_fix_confbrs`
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~~~
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normaliser le tableau $1(=confbrs): fusionner les doublons
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~~~
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## `network_fix_confips`
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~~~
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normaliser le tableau $1(=confips): fusionner les doublons, spécifier le
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suffixe /24 par défaut, etc. $2 est le cas échéant l'interface associée
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aux adresses ip non qualifiées
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~~~
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## `network_fix_mainiface`
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~~~
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A partir des valeurs des tableaux $1(=confbrs) et $2(=confips), et de
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l'interface principale $3, déterminer l'interface principale. Si $3 est
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spécifié, c'est la valeur sélectionnée. Sinon, si un bridge existe, c'est
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le premier bridge qui est sélectionné. Sinon, la première interface est
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sélectionnée. Sinon, on prend eth0.
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Ensuite, réorganiser les tableaux de façon que confips[0] devienne la
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configuration ip de l'interface principale.
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~~~
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## `network_fix_confs`
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## `network_set_confbrs`
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~~~
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initialiser $1(=confbrs) avec l'état des bridges sur le système courant
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~~~
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## `network_set_confips`
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initialiser le tableau $1(=confips) avec l'état des interfaces sur le
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système courant
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## `network_interfaces_check_confbr`
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## `network_interfaces_check_confbr`
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~~~
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Vérifier que la configuration du bridge $1, dont les membres sont les
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Vérifier que la configuration du bridge $1, dont les membres sont les
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@ -135,9 +81,6 @@ $3(=confips)
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~~~
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~~~
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## `network_fix_hostname`
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## `network_fix_hostname`
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## `network_fix_mailname`
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## `network_fix_mailname`
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## `network_fix_exim4`
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## `network_fix_postfix`
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## `network_fix_hosts`
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## `network_config`
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## `network_config`
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~~~
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~~~
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(Re)configurer le réseau sur l'hôte courant. Des efforts sont faits pour
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(Re)configurer le réseau sur l'hôte courant. Des efforts sont faits pour
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@ -73,5 +73,62 @@ Si $1 *semble* déjà être un nom d'hôte pleinement qualifié, l'afficher tel
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quel. Sinon utiliser ipcalc_fqdn() pour afficher le nom d'hôte pleinement
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quel. Sinon utiliser ipcalc_fqdn() pour afficher le nom d'hôte pleinement
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qualifié correspondant.
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qualifié correspondant.
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~~~
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## `network_parse_confbr`
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network_parse_confbr "$confbr" br ifaces
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## `network_format_confbr`
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network_format_confbr "$br" ifaces --> "br:ifaces"
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## `network_parse_confip`
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~~~
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network_parse_confip "$confip" iface gateway ipsuffixes
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~~~
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## `network_parse_ipsuffix`
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~~~
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network_parse_ipsuffix "$ipsuffix" ip suffix
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## `network_format_confip`
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~~~
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network_format_confip "$iface" "$gateway" ipsuffixes --> "iface//gateway:ipsuffixes"
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~~~
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## `network_format_ipsuffix`
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~~~
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network_format_ipsuffix "$ip" "$suffix" --> "ip/suffix"
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~~~
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## `network_fix_confbrs`
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~~~
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normaliser le tableau $1(=confbrs): fusionner les doublons
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~~~
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## `network_fix_confips`
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~~~
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normaliser le tableau $1(=confips): fusionner les doublons, spécifier le
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suffixe /24 par défaut, etc. $2 est le cas échéant l'interface associée
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aux adresses ip non qualifiées
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## `network_fix_mainiface`
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~~~
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|
A partir des valeurs des tableaux $1(=confbrs) et $2(=confips), et de
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||||||
|
l'interface principale $3, déterminer l'interface principale. Si $3 est
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||||||
|
spécifié, c'est la valeur sélectionnée. Sinon, si un bridge existe, c'est
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||||||
|
le premier bridge qui est sélectionné. Sinon, la première interface est
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||||||
|
sélectionnée. Sinon, on prend eth0.
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||||||
|
Ensuite, réorganiser les tableaux de façon que confips[0] devienne la
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configuration ip de l'interface principale.
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~~~
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## `network_fix_confs`
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## `network_set_confbrs`
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initialiser $1(=confbrs) avec l'état des bridges sur le système courant
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~~~
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## `network_set_confips`
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~~~
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initialiser le tableau $1(=confips) avec l'état des interfaces sur le
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système courant
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~~~
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## `network_fix_exim4`
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## `network_fix_postfix`
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## `network_fix_hosts`
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
|
@ -32,9 +32,6 @@ démarrage
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~~~
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~~~
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Activer le service $1 pour qu'il se lance automatiquement au démarrage
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Activer le service $1 pour qu'il se lance automatiquement au démarrage
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~~~
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~~~
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## `create_bridge`
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## `network_fix_hostname`
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~~~
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Créer un nouveau pont nommé $1 avec les paramètres $2
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~~~
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-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
-*- coding: utf-8 mode: markdown -*- vim:sw=4:sts=4:et:ai:si:sta:fenc=utf-8:noeol:binary
|
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@ -11,6 +11,11 @@ et $3(=SYSVER) en fonction des valeurs des autres. Cette fonction est à
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utiliser quand on récupère cette information de la part de l'utilisateur,
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utiliser quand on récupère cette information de la part de l'utilisateur,
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et qu'il faut compléter
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et qu'il faut compléter
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~~~
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~~~
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## `dump_sysinfos`
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Afficher les valeurs de SYSNAME, SYSDIST, SYSVER qui décrivent le système
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actuel
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## `get_sysinfos_desc`
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## `get_sysinfos_desc`
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Afficher une chaine de la forme SYSNAME/SYSDIST/SYSVER qui décrit le
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Afficher une chaine de la forme SYSNAME/SYSDIST/SYSVER qui décrit le
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@ -46,6 +51,16 @@ cela n'a actuellement de sens qu'avec les version de MacOS X. Il faut
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aussi impérativement filtrer sur le système, e.g:
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aussi impérativement filtrer sur le système, e.g:
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check_sysinfos -s macosx -d 10.5+
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check_sysinfos -s macosx -d 10.5+
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~~~
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~~~
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## `unsupported_system`
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Afficher un message d'erreur indiquant que le système actuel n'est pas
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supporté, et quitter le script
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## `require_sysinfos`
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Vérifier le système actuel avec check_sysinfos(), et afficher un message
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d'erreur avec unsupported_system() s'il ne correspond pas à la requête
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## `on_debian`
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## `on_debian`
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Tester si on est sur debian. charger le module debian si c'est le cas.
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Tester si on est sur debian. charger le module debian si c'est le cas.
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