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# sqlcsv
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USAGE:
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sqlcsv [query]
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query est la requête SQL à exécuter. Si query n'est pas spécifiée ou si elle
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vaut '-', la requête SQL est lue sur l'entrée standard, ou depuis un
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fichier si l'option -f est spécifiée.
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DEMARRAGE
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Au démarrage, les répertoires de configuration (utilisateur ~/.sqlcsv et système
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/etc/sqlcsv) sont analysés. Les fichiers *.jar situés dans ces répertoires sont
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ajoutés au CLASSPATH. La présence de certains fichiers est testée pour activer
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éventuellement les logs détaillés.
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OPTIONS
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-C, --config CONFIG
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Prendre les informations de connexion depuis le fichier de propriété
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spécifié. Pour l'identifiant CONN, la propriété 'CONN.url' doit exister
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dans ce fichier avec la valeur de l'url jdbc de connexion. De plus, les
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propriétés 'CONN.user' et 'CONN.password' contiennent respectivement si
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nécessaire le nom et le mot de passe de connexion. La propriété
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'loglevel', si elle existe, est utilisée pour configurer le niveau
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d'affichage des logs, comme avec l'option --loglevel
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Si cette option n'est pas spécifiée, un fichier nommé sqlcsv.properties
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est recherché dans l'ordre: dans le répertoire courant, dans le
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répertoire de configuration utilisateur, puis dans le répertoire de
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configuration système. Si le fichier est trouvé, il est chargé
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automatiquement.
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-l, --conn CONN
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Spécifier l'identifiant (ou l'url) de connexion. Cette information est
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obligatoire. Si cette option n'est pas fournie, il faut spécifier un
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fichier de configuration avec l'option -C dans lequel *une seule*
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propriété 'CONN.url' est définie.
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-u, --user USER
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-p, --password PASSWORD
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Spécifier un nom de connexion et un mot de passe si l'url ne le fournit
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pas. Ces valeurs ont la priorité sur les valeurs éventuellement déjà
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présentes dans le fichier de propriété.
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-f, --input INPUT
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Lire la requête depuis le fichier INPUT au lieu de la lire depuis la
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ligne de commande ou l'entrée standard. Ne pas spécifier cette option ou
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utiliser '-' pour lire depuis l'entrée standard. Cette option est
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ignorée si la requête est fournie sur la ligne de commande.
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-o, --output OUTPUT
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Ecrire le résultat dans le fichier OUTPUT. Utiliser '-' pour spécifier
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la sortie standard (c'est la valeur par défaut). S'il y a plusieurs
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requêtes et que le fichier de sortie n'est pas la sortie standard,
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ajouter un numéro incrémental au nom du fichier en sortie pour chaque
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requête. Sinon, il est possible de spécifier plusieurs fois cette option
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pour nommer les fichiers correspondant à chaque requête.
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-t, --autocommit
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Activer le mode autocommit
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-c, --ignore-io-error
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Continuer le traitement même en cas d'erreur du système de fichiers.
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Cependant le traitement s'arrête et la transaction est annulée si une
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autre erreur se produit.
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-y, --ignore-any-error
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Continuer le traitement même en cas d'erreur quelconque.
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-n, --no-headers
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Ne JAMAIS inclure les en-têtes dans la sortie, même avec l'option -h
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-a, --append
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Ajouter le résultat au fichier OUTPUT au lieu de l'écraser.
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-A, --auto-na
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Activer les option -n -a si le fichier OUTPUT existe et qu'il est non
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vide. Le test n'est effectué que pour le premier fichier spécifié.
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-s, --same-output
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Utiliser le même fichier pour écrire le résultat de toutes les requêtes.
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Normalement, un numéro incrémental est ajouté au fichier en sortie si
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plusieurs requêtes sont spécifiées. Si les en-têtes sont les mêmes,
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ajouter le résultat au fichier directement à la suite. Sinon, sauter une
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ligne blanche et afficher les nouveaux en-têtes.
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-h, --force-headers
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En cas d'écriture du résultat de plusieurs requêtes dans un même
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fichier, ne pas tenter de concaténer les résultats même si les en-têtes
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sont les mêmes.
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--uc-output
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Ajouter dans la sortie les résultat de toutes les requêtes, pas
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seulement celles de type DQML
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--loglevel LOGLEVEL
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Spécifier le niveau de logs à afficher. Les valeurs valides sont à
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choisir parmi ALL, FINEST, FINER, FINE, CONFIG, INFO, WARNING, ERROR
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La présence de certains fichiers dans les répertoires de configuration
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utilisateur ou système configure les logs avant que les options de la
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ligne de commande ne soient analysés: un fichier DEBUG fait démarrer
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l'application avec le niveau de log ALL ce qui permet de voir les logs
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concernant le chargement des jar. Un fichier SQL_DEBUG permet d'activer
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la trace de DriverManager. Exemple:
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mkdir -p ~/.sqlcsv && touch ~/.sqlcsv/{DEBUG,SQL_DEBUG}
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